Mon gros coup de cœur Sonatine de ce début d’année en littérature étrangère
« Jeremiah avait compris il y a fort longtemps qu’un livre pouvait être une arme et, fidèle à lui-même, il s’était constitué un arsenal. » Chiens des Ozarks d’Eli Cranor
Et en plus il est traduit de l’anglais (Etats-Unis)
par ma si chère Emmanuelle Heurtebize