Peut-être qu’il faudrait souffler dessus, et la répandre. Parce que la bienveillance, ça marcherait comme les pissenlits en graines. Ici, on aurait bien besoin d’un Canadair. Là, il suffirait d’embrasser le vent. Ailleurs, on sèmerait à la main : déposer sur le sol et recouvrir d’un regard. Un jour sans doute, on obtient une forêt, lieu de promenade. Dans cette forêt, tous les sons amicaux racontent l’histoire de la grande récolte qui se fera sans rien arracher à qui que ce soit.