Quand, au 3eme acte de cet ORLANDO de Händel, la mise en scène abandonne un peu son prosaïsme, et que j'ai un verre de vin dans le nez, je me dis que c'est vraiment un miracle que cet orchestre joue pour nous (les spectateurs), que les chanteurs chantent, avec tant de grâce.
Et ce théâtre de Paris, aux trois quarts vide en ce mercredi, je me dis que si vous aimez la musique, vous pouvez aller y faire un tour.