Je ne connais pas cette campagne aux vieilles pierres, aux tonnelles de lierre qui abritent de la chaleur. Peuplée de visages ridés mais chaleureux. Celle que je connais, je ne dirais pas la mienne, habite des maisons qu’on leur a conseillé de construire, avec des escaliers qu’ils peinent aujourd’hui à monter. Elle nait, vit et meurt dans le silence.