Jacques Baynac, cité par Edwy Plenel (Médiapart) « Dans la société de fiction, la communauté humaine est le marché, l’individu le consommateur, l’être le compte en banque. Dans cette société, la démocratie, gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple, est le gouvernement du peuple par les riches pour les super-riches. L’homme, l’humain réel, est de trop dans la société de fiction. Parce qu’il est réel. L'homme idéal de cette société est un homme sevré de réel et nourri de fictions.».